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Manaÿa

C’est après mon éveil en Nouvelle-Zélande en 2016, que toute ma vie s’ouvre à une nouvelle conscience, celle de l’Être qui se réveille de son état soporiphique et qui découvre enfin l’infini potentiel de son Divin.

Je réalise alors que toutes mes expériences de jeunesse étaient déjà une expression de mes potentiels innés, dont je n’avais pas conscience : sensibilité à l’eau, l’électricité, le feu, la thermorégulation. L’accès au monde des défunts et les voyages astraux en rêve s’ouvrirent à moi, puis arriva une finesse envers les chiffres, l’écriture poétique et un naturel marqué envers l’art et la musique.

Il n’en fallait pas moins pour que le Grand Orchestre, comme j’aime le nommer, me fasse ressentir l’impulsion de vie qui criait en moi et dont je ne pouvais plus cacher.

J’ai alors ouvert des sentiers inconnus en mon Être, en déplaçant chaque branche, chaque feuille en douceur, pour m’offrir toute l’expression de ma lumière originelle.

À travers mes voyages autour de Gaïa, telle une exploratrice infatigable, j’ai rassemblé toutes les facettes de mon Être, que j’ai glané de ci de là où mon instinct me disait d’aller. J’ai pu fouler chaque continent et goûter aux saveurs de notre Mère Terre, pour enfin faire la connaissance de mes origines et de mes nombreuses vies.

Se révèle à moi mon nom vibrationnel Manaÿa “Mère de l’Eau” qui prit toute sa puissance sur l’Ile de Pâques, lorsque je rencontra ma Mère Pléiadienne, au travers d’un Mohaï tourné vers l’océan et reconnecta aux Déesses et Prêtresses qui vivent en moi : Lémurie, Agartha, Egypte, Première Nation, Peuples des Étoiles.

Je décide alors de me laisser porter par la force et la douceur de l’Eau qui m’habitent, pour guérir mon Féminin Sacré. Une discipline d’amour s’ensuit vers la libération de toutes ses filles, femmes, mères et grands mères blessées que je portais, pour enfin apprécier mon équilibre féminin masculin.

Aujourd’hui, j’ose vous regarder dans les yeux et vous tendre la main, pour avancer sereinement sur un chemin de reconnexions et de guérisons, dans l’Amour et la Compassion que seules les Familles d’Âmes ont le secret.

À vous, âmes de cœur, je vous vois et vous reconnais.